La corrida est l’une des célébrations nationales de l’Espagne, ses valeurs culturelles étant également reconnues comme importantes. Dans l’arène, le torero affronte le taureau, symbole de fureur et de force, et au péril de sa vie, il l’étudie, le domine et, enfin, le tue à l’épée.
La noblesse du combat, la férocité du taureau et le courage du torero ont inspiré de nombreux artistes espagnols. Pour vraiment comprendre l’Espagne et ses habitants, il faut voir une corrida, car tout ce qui se passe dans les arènes inspire l’art espagnol, explique l’histoire espagnole et détermine le caractère espagnol..
La passion espagnole pour la tauromachie est très ancienne. Dans les peintures rupestres, le taureau avait une présence très importante, mais ce n’est qu’à la fin du XVIIe siècle que la tauromachie a été comprise comme nous le faisons aujourd’hui.
La corrida est divisée en trois “tercios”. Avant le début de la première, les toreros doivent défiler autour de l’arène dans une marche très émouvante appelée la “paseillo”.
La première“tercio” s’appelle le “tercio de varas”, dans lequel le torero affronte pour la première fois le taureau avec la cape afin d’étudier ses mouvements pour les charges successives sur le taureau. Dans ce “tercio” le “picador” affaiblit le taureau avec une lance afin de faire un combat plus équivalent. Pendant ce temps, le “matador” fait de belles et différentes passes avec la cape telles que : veronica, chicuelina, faroles, gaonera…etc.
La deuxième “tercio” est le “tercio de banderillas”. Dans cette partie le “banderilleros” piquer le taureau avec une petite lance appelée “banderilla” sur le dessus de son dos. This is a very spectacular moment, in which the “banderilleros” rencontrer le taureau de front dans une passe très courageuse.
Le dernier et le plus important “tercio” est le “tercio del momento supremo”. I ans ce moment spécial, le torero doit faire le “faena” avec le “muleta”, en utilisant une variété de lances courageuses et belles pour préparer le taureau au moment le plus excitant et le plus dangereux du spectacle : la mort du taureau.